Les métiers disparus de notre village
Le garage Gadet mécanique générale 1900
Boucherie charcuterie dans les années 1940
Epicerie essence, plus loin magasin l’épargne
Le café Clamens 1936-37
Scerie Bénasac 1930
Usine de peinture 1947
1 Ros Lucie
2 Bailly Antonin
3 Dardier ?
4 Soubié ?
5 Petit ?
6 Ibres Joseph
7 Cannés Pierre
8 Delpont Antonin
9 Brunel (concierge)
10 Marty Suzon
11 Toulouse Irène
12 Labrune Jeannette
13 Longagnes Noël
14 Brunel (fils
La briqueterie Dieupentale 1920
La briqueterie Dieupentale 1915
1 Sancé Jeanne: 2 Gendre Félicie: 3 Laval Marie: 4 Lanies Madeleine: 5 Dégeilh Yvonne: 6 Deldebac Jeanne: 7 Laval Marguerite:8 Daujean Antoinette: 9 Gibert Maguerite: 10 Vézia Josephine: 11 Vézia Lucie: 12 Sancé Jean:13 Boistel Jean,(le directeur).
Mécanique cycles et motocycle 1955
La distillation 1940
Le bouilleur de cru et le distillateur ambulant Ce métier aujourd’hui disparut de nos campagnes. Après la vendange venait le temps de l’alambic.Tout propriétaire d’une parcelle, ayant la dénomination de vigne inscrite sur le cadastre, peut distiller les produits issus de cette parcelle (vin, marc). Après le soutirage du vin, le marc est récupéré et mis de côté pour être distillé. Il sera stocké dans des tonneaux dans l’attente de la venue de l’alambic ambulant. On extrait par distillation du vin, ou de sa lie, le vin ardent, dénommé aussi eau-de-vie. (la gnôle). Préparation pour la journée de distillation, atteler le cheval à la jardinière (petite charette)le tonneau de vin, le tonneau d’eau, le bûcher de bon bois de chêne, à l’heure fixée pour le rendez-vous départ pour l’alambic, un arrêt devant le bureau de tabac qui faisait la fonction de régie, il fallait déclarer la distillation et payer la taxe, qui était règlementée et souvent contrôlée par la maréchaussée. Chaque bouilleur de cru avait droit à 10 litres d’alcool pur (100°) par an, soit 20 litres d’eau de vie à 50° ou 14 litres à 70°, mais cette réglementation était parfois trichée. Après la mise en pression de l’alambic,le précieux liquide commençait à couler et la dégustation pouvait se faire, il y avait bien sûr comme dans tous les villages des habitués pour déguster,et qui n’hésitaient pas à faire des aller-retour sous prétexte de venir se réchauffer les mains devant la chaudière, mais qui le soir venu ne voyaient plus un alambic, mais deux. Souvenir d’une autre époque.
Atelier de fabrique de chaises de Mr Marre père et fils de 1940-1990 au 10 Allée du canal.
Le bourrelier 1940
Le bourrelier dans les années 1940, le métier de bourrelier était d’une grande utilité dans le village vu qu’il y avait beaucoup plus de voitures à crottin qu’a moteur thermique, il y avait environ 5 automobiles dans le village, et pas plus de téléphones, dans ces années-là, nous étions à des années lumière du CO2 et pollution de la couche d’ozone. Mais le bourrelier était aussi sellier et matelassier, donc un artisanat important.
Photo envoyée par Mme Jacqueline Petit (ex Melle Castabonnel) qui n’est autre que la fille de notre bourrelier Georges Castabonnel
Station service dans les années 1950
Garage mécanique Serres
La forge dans les années 1957
la menuiserie dans les années 1957
Dans les années 1940 Mr Turlan François, s’installe comme artisan menuisier ébéniste à Dieupentale quartier de la mothe,il forma, au long de sa carrière plusieurs apprentis.
Merci Hubert pour ce joli récit malgré la guerre. J’ai été aussi étonné que toi de me retrouver avec toi…